Sources:
Bibliothèque interuniversitaire (Montpellier); Manuscrits de la reine Christine; Appendice di lettere della regina Cristina; Christine de Suède au comte Ulfeldt, Hambourg, 22 septembre 1661 (digitisation page 1v-2r to 2v-3r)
Christine (1626-1689 ; reine de Suède), Manuscrits de la reine Christine: Appendice di lettere della regina Cristina, : , 1601-1700.
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Mémoires concernant Christine, volume 2, page 64, Johan Arckenholtz, 1751
The letter:
Mons[ieu]r Vlfeldt; Je ne vous escris pas par vous plaindre dans l'estat ou vous estés; Ne pouuant vous rendre pour le present aucun Office qui Soit digne de moy, Je ne m'amuseray pas a vous inquieter par des plaintes qui me Semblent indignes de vous. Je Suis persuadeé de la prison ny la mort n'ont rien de Si affreux que l'on ne puisse trouuer en Soy mesme de quoy S'en consoler, et Je crois que quand on a le Coeur fait comme le vostre, l'on est rarement malheureux lors qué l'on n'est pas coupable, Je vous escris donc Seulement pour vous asseurer, que la fortune en vous ostant la liberté, ne vous a pas ostè mon estime, ny mon amitié, et pour vous prier de me faire l'honneur de croire, que tout ce qui S'est passé dans l'affaire de Bart, a este fait plustost pour vostre interest que pour le mien, et qu'il m'a falu mettre cette terre a couuert pour moy affin qu'elle ne fust pas entierement perdue pour vous Si la fortune et vos ennemis Se lassent un jour a vous persecuter; Je ne puis m'expliquer plus clairement pour cette fois, Vous me connoissez assez pour me croire incapable d'une bassesse, et Je croirois m'offencer, Si Je me donnois plus de peine a m'en Justifier. Apres cela Je vous diray encore que Je ne Suis pas la personne Seule qui S'interesse en Vous; Mons[ei]g[neu]r le Card[ina]l Barbarini m'a tesmoigné par Ses lettres de Souhaitter vostre liberté, et m'a mesme prié de m'y employer; Je dois rendre ce tesmoignage a ce grand Card[ina]l et vous diray pour vostre consolation, qu'un tel homme Se professe encore vostre Amy. Je Souhaitterois de trouuer occasion de vous Seruir utilement et vous asseure que ie m'y employeray auec toute affection. Le tems qui apporte des remedes à tous les maux, en produira aussi a ce que J'espere a ceux qui vous persecutent et donnera a vos amis la joye de vous voir en liberté; Vous la deuez mesme esperer de la Clemence et de la generosité du Roy qui vous tient en Son pouuoir, quand il connoistera que vous n'estez pas capable de luy estre ingrat apres qu'il vous aura fait une grace Si Signaleé. Pour moy Si J'estois capable d'obtenir de Luy cette faueur, Je me renderois volontiers vostre caution auprès de luy, affin qu'il ne mist Jamais vostre fidelité, ny vostre reconnoissance en doubte; quoy qu'il en arrive, le temps vous fera connoistre, que Je vous conserueray toute ma uie l'amitié que Je vous ay donneé.
Christine Alexandre
Je me Suis Seruye de la main de mon Secretaire pour vous espargner la peine d'estudier les Sentiments d'amitié que J'ay tasché de uous exprimer dans cette lettre. S'il vous est permis, Je vous prie d'embrasser Mad[am]e Leonore de ma part et de l'asseurer que Je luy conserueray toujours mon amitié toute entiere. Hambourg ce 22 Septembre 1661.
With modernised spelling:
Monsieur Ulfeldt,
Je ne vous écris pas par vous plaindre dans l'état ou vous êtes. Ne pouvant vous rendre pour le présent aucun office qui soit digne de moi, je ne m'amuserai pas à vous inquiéter par des plaintes qui me semblent indignes de vous. Je suis persuadée de la prison ni la mort n'ont rien de si affreux que l'on ne puisse trouver en soi-même de quoi s'en consoler, et je crois que quand on a le cœur fait comme le vôtre, l'on est rarement malheureux lorsque l'on n'est pas coupable.
Je vous écris donc seulement pour vous assurer que la fortune, en vous ôtant la liberté, ne vous a pas ôté mon estime, ni mon amitié, et pour vous prier de me faire l'honneur de croire que tout ce qui s'est passé dans l'affaire de Barth a été fait plutôt pour votre intérêt que pour le mien et qu'il m'a fallu mettre cette terre à couvert pour moi afin qu'elle ne fût pas entièrement perdue pour vous si la fortune et vos ennemis se lassent un jour à vous persécuter.
Je ne puis m'expliquer plus clairement pour cette fois. Vous me connaissez assez pour me croire incapable d'une bassesse, et je croirais m'offenser si je me donnais plus de peine à m'en justifier. Après cela je vous dirai encore que je ne suis pas la personne seule qui s'intéresse en vous; Monseigneur le cardinal Barberini m'a témoigné par ses lettres de souhaiter votre liberté et m'a même prié de m'y employer. Je dois rendre ce témoignage à ce grand cardinal et vous dirai, pour votre consolation, qu'un tel homme se professe encore votre ami.
Je souhaiterais de trouver occasion de vous servir utilement et vous assure que je m'y emploierai avec toute affection. Le temps, qui apporte des remèdes à tous les maux, en produira aussi à ce que j'espère à ceux qui vous persécutent et donnera à vos amis la joie de vous voir en liberté. Vous la devez même espérer de la clémence et de la générosité du roi, qui vous tient en son pouvoir quand il connaîtra que vous n'êtes pas capable de lui être ingrat après qu'il vous aura fait une grâce si signalée.
Pour moi, si j'étais capable d'obtenir de lui cette faveur, je me rendrais volontiers votre caution auprès de lui, afin qu'il ne mît jamais votre fidélité, ni votre reconnaissance en doute. Quoi qu'il en arrive, le temps vous fera connaître que je vous conserverai toute ma vie l'amitié que je vous ai donnée.
Christine Alexandre.
Je me suis servie de la main de mon secrétaire pour vous épargner la peine d'étudier les sentiments d'amitié que j'ai tâché de vous exprimer dans cette lettre. S'il vous est permis, je vous prie d'embrasser Madame Léonore de ma part et de l'assurer que je lui conserverai toujours mon amitié toute entière. Hambourg, ce 22 septembre 1661.
Arckenholtz's transcript of the letter:
Monsieur Ulfelt. Je ne Vous écris pas par vous plaindre dans l'état où vous êtes, ne pouvant vous rendre pour le présent aucun office, qui soit digne de moi. Je ne m'amuserai pas à Vous inquiéter par des plaintes, qui me semblent indignes de vous. Je suis persuadée de la prison ni la mort n'ont rien de si affreux que l'on ne puisse trouver en soi-même de quoi s'en consoler, & je crois que quand on a le cœur fait comme le vôtre, l'on est rarement malheureux, lorsque l'on n'est pas coupable. Je vous écris donc seulement pour vous assurer que la fortune, en vous ôtant la liberté, ne vous a pas ôté mon estime, ni mon amitié. Et pour vous prier de me faire la justice de croire que tout ce qui se passe dans l'affaire de Bart, a été fait plûtôt pour votre intérêt, que pour le mien, & qu'il m'a falu mettre cette terre à couvert pour moi, afin qu'elle ne fût pas entièrement perduë pour vous, si la fortune & vos ennemis se lassent un jour de vous persécuter. Je ne puis m'expliquer plus clairement pour cette fois, Vous me connoissez assez pour me croire capable d'une bassesse & je croirois m'offenser, si je me donnois plus de peine à m'en justifier. Après cela je vous dirai encore, que je ne suis pas la seule personne, qui s'intéresse à Vous. Monsieur le Cardinal Barberini m'a témoigné par ses lettres de souhaiter votre liberté, & m'a même priée de m'y emploïer. Je dois rendre ce témoignage à ce Grand Cardinal & vous dire, qu'un tel homme fait encore profession d'être votre ami. Je souhaiterois de trouver occasion de vous servir utilement, & vous assure, que je m'y emploïerois avec toute affection. Le tems qui apporte du reméde à tous les maux, en produira aussi à ce que j'espére à l'égard de ceux qui vous persécutent, & donnera à vos amis la joïe de vous voir en liberté. Vous le devez même espérer de la clémence, & de la générosité du Roi qui vous tient en son pouvoir, quand il connoitra que vous n'êtes pas capable de lui être ingrat, après qu'il vous aura fait une grace si signalée. Pour moi, si j'étois capable d'obtenir de lui cette faveur, je me rendrois vôtre fidélité ni vôtre reconnoissance en doute. Quoiqu'il en arrive, le tems vous fera connoitre, que je vous conserverai toute ma vie l'amitié que je vous ai donnée.
CHRISTINE ALEXANDRA.
English translation (my own):
Sir Ulfeldt,
I am not writing to you to complain of the state in which you find yourself, not being able to render you at present any service which is worthy of me. I will not amuse myself by disturbing you with complaints, which seem to me unworthy of you. I am convinced that neither prison nor death has anything so dreadful that one cannot find in oneself anything to console for it, and I believe that when one has one's heart made like yours, one is seldom unhappy when one is not guilty. I am writing to you therefore only to assure you that fortune, by depriving you of your liberty, has not deprived you of my esteem or my friendship. And to beg you to do me justice to believe that everything that happened in the Bart affair was done more for your interest than for mine, and that I had to put this land under cover for me so that it may not be entirely lost for you if fortune and your enemies someday tire of persecuting. I cannot explain myself more clearly this time, you know me well enough to believe me capable of a baseness and I would think myself offended if I took more trouble to justify myself. After that I will tell you again that I am not the only person who is interested in you. Cardinal Barberini has testified to me in his letters to wish for your freedom, and even asked me to do so. I must bear this testimony to this great Cardinal and tell you that such a man still professes to be your friend. I would like to find an opportunity to serve you usefully and assure you that I will do so with all affection. Time, which brings a remedy to all evils, will also produce what I hope for those who persecute you, and will give your friends the joy of seeing you in freedom. You must even hope for the mercy and the generosity of the King, who holds you in his power, when he will know that you are not capable of being ungrateful to him after he has given you such a grace. As for me, if I were able to obtain this favour from him, I would make neither your fidelity nor your gratitude in doubt for myself. Whatever happens, time will let you know that I will preserve for you all my life the friendship that I gave you.
Kristina Alexandra.
Danish translation of the original (my own; using the archaic formal 2nd person pronouns "I/Eder" rather than the modern "De/Deres"; I cannot tag it as such due to character limits in the tags):
Hr. Ulfeldt,
Jeg skriver ikke til Eder for at klage over den tilstand, I befinder Eder i. Da jeg ikke kan yde Eder nogen tjeneste, der er mig værdig for tiden, vil jeg ikke more mig med at bekymre Eder med klager, der forekommer mig uværdige for Eder. Jeg er overbevist om, at hverken fængsel eller død har noget så forfærdeligt, at man ikke kan finde noget i sig selv at trøste sig for dem, og jeg tror, at når man har et hjerte som Eders, er man sjældent ulykkelig, når man ikke er skyldig.
Jeg skriver derfor kun til dig for at forsikre Eder om, at lykken ved at tage Eder frihed ikke har frataget min agtelse eller mit venskab, og for at bede Eder om at gøre mig den ære at tro, at alt, hvad der skete i Barth-sagen, er blevet gjort for Eders interesse end for min, og at jeg var nødt til at lægge dette land under dække for mig selv, så det ikke ville gå helt tabt for Eder, hvis lykken og Eders fjender en dag bliver trætte af at forfølge Eder.
Jeg kan ikke forklare mig tydeligere denne gang. I kender mig jo godt nok til at tro, at jeg er ude af stand til at være dårlig, og jeg ville tro, at jeg ville fornærme mig selv, hvis jeg gjorde mere umage for at retfærdiggøre mig selv. Derefter vil jeg fortælle Eder igen, at jeg ikke er den eneste person, der er interesseret i Eder; monsignor kardinal Barberini har med sine breve vist mig, at han ønsker Eders frihed og har endda bedt mig arbejde hen imod det. Jeg skal afgive dette vidnesbyrd til denne store kardinal, og jeg vil sige Eder til Eders trøst, at sådan en mand stadig kalder sig Eders ven.
Jeg vil gerne finde en mulighed for at tjene Eder nyttigt, og jeg forsikrer Eder om, at jeg vil gøre det med al hengivenhed. Tiden, som bringer midler til alle dårligdomme, vil også frembringe nogle, håber jeg, til dem, der forfølger Eder, og vil give Eders venner glæden ved at se Eder i frihed. I må endda håbe på det af kongens nåde og generøsitet, som holder Eder i sin magt, når han ved, at I ikke er i stand til at være ham utaknemmelig, efter at han har vist Eder en sådan signaleret tjeneste.
For mig selv, hvis jeg var i stand til at opnå denne gunst fra ham, ville jeg gerne blive Eder garanti hos ham, så han aldrig ville tvivle på Eder troskab eller Eder taknemmelighed. Uanset hvad der sker, vil tiden få Eder til at vide, at jeg vil bevare for Eder hele mit liv det venskab, som jeg har givet Eder.
Kristina Alexandre.
Jeg har tjent mig selv af min sekretærs hånd for at spare Eder for besværet med at studere de følelser af venskab, som jeg har forsøgt at udtrykke Eder i dette brev. Hvis det er tilladt for Eder, beder jeg Eder om at omfavne frue Leonora på mine vegne og forsikre hende om, at jeg altid vil bevare mit venskab for hele hende. Hamborg, den 22. september 1661.
Swedish translation of the original (my own):
Herr Ulfeldt,
Jag skriver inte till Er för att klaga på det tillstånd Ni befinner Er i. Eftersom jag inte kan göra Er någon tjänst som är värdig mig för närvarande, kommer jag inte att roa mig med att bekymra Er med klagomål som jag tycker är ovärdiga Er. Jag är övertygad om att varken fängelse eller död har något så fruktansvärt att man inte kan finna något inom sig att trösta sig för dem, och jag tror att när man har ett hjärta som Ert, är man sällan olycklig när man inte är skyldig.
Jag skriver därför till Er endast för att försäkra Er om att lyckan, genom att ta bort Er frihet, inte har tagit bort min aktning eller min vänskap, och för att be Er göra mig den äran att tro att allt som hände i Barth-affären har gjorts hellre för Ert intresse än för mitt och att jag var tvungen att lägga detta land under tak för mig själv så att det inte skulle gå helt förlorat för Er om lyckan och Era fiender en dag tröttnar på att förfölja Er.
Jag kan inte förklara mig tydligare den här gången. Ni känner mig ju tillräckligt väl för att tro mig oförmögen till elakhet, och jag skulle tro att jag skulle förolämpa mig själv om jag tog mer besvär för att rättfärdiga mig själv. Efter det skall jag berätta igen att jag inte är den enda personen som är intresserad av Er; monsignor kardinal Barberini har med sina brev visat mig att han önskar Er frihet och har till och med bett mig arbeta för det. Detta vittnesbörd måste jag ge denna store kardinal, och jag skall säga Er, till Er tröst, att en sådan man fortfarande bekänner sig till Er vän.
Jag skulle vilja finna ett tillfälle att tjäna Er nyttigt, och jag försäkrar Er att jag skall göra det med all tillgivenhet. Tiden, som ger botemedel mot alla smärtor, kommer också att ge några, hoppas jag, för dem som förföljer Er och kommer att ge Era vänner glädjen att se Er i frihet. Ni måste till och med hoppas på det från konungens nåd och generositet, som håller Er i sin makt när han vet att Ni inte är kapabel att vara otacksam mot honom sedan han har visat Er en sådan signalerad tjänst.
För mig själv, om jag var kapabel att erhålla denna gunst från honom, skulle jag villigt bli Er borgen hos honom, så att han aldrig skulle tvivla på Er trohet eller Er tacksamhet. Vad som än händer kommer tiden att få Er att veta att jag skall bevara den vänskap som jag har givit Er för Er hela mitt liv.
Kristina Alexandre.
Jag har tjänat mig själv av min sekreterares hand för att bespara Er besväret att studera vänskapskänslan som jag har försökt uttrycka för Er i detta brev. Om det är tillåtet för Er, ber jag Er att omfamna fru Leonora å mina vägnar och att försäkra henne om att jag alltid kommer att bevara min vänskap för hela henne. Hamburg, den 22 september 1661.
English translation of the original (my own):
Lord Ulfeldt,
I am not writing to you to complain about the state you are in. As I cannot do you any service worthy of me at present, I will not amuse myself by worrying you with complaints that seem to me unworthy of you. I am persuaded that neither prison nor death have anything so dreadful that one cannot find within oneself something to console oneself for them, and I believe that when one has a heart like yours, one is rarely unhappy when one is not culpable.
I am writing to you therefore only to assure you that fortune, in taking away your freedom, has not taken away my esteem or my friendship, and to beg you to do me the honour of believing that everything that happened in the Barth affair has been done rather for your interest than for mine and that I had to put this land under cover for myself so that it would not be entirely lost to you if fortune and your enemies one day tire of persecuting you.
I cannot explain myself more clearly this time. You know me well enough to believe me incapable of baseness, and I would think I would offend myself if I took more trouble to justify myself. After that, I will tell you again that I am not the only person who is interested in you; Monsignor Cardinal Barberini has shown me by his letters that he wishes for your freedom and has even asked me to work towards it. I must give this testimony to this great cardinal, and I will tell you, for your consolation, that such a man still professes himself your friend.
I would wish to find an opportunity to serve you usefully, and I assure you that I will do so with all affection. Time, which brings remedies to all ills, will also produce some, I hope, to those who persecute you and will give your friends the joy of seeing you at liberty. You must even hope for it from the clemency and generosity of the King, who holds you in his power when he knows that you are not capable of being ungrateful to him after he has shown you such a signaled favour.
For myself, if I were capable of obtaining this favour from him, I would willingly become your guarantee with him, so that he would never doubt your fidelity or your gratitude. Whatever happens, time will make you know that I will preserve for you all my life the friendship that I have given you.
Kristina Alexandre.
I have served myself of the hand of my secretary to spare you the trouble of studying the sentiments of friendship that I have tried to express to you in this letter. If it is permitted to you, I beg you to embrace Lady Leonora on my behalf and to assure her that I will always preserve my friendship for her entire. Hamburg, September 22, 1661.
Above: Kristina.
Above: Corfitz Ulfeldt.
Note: Ulfeldt had recently been released from his long and horrible imprisonment in September 1661 after he was arrested for treason against Denmark in siding with Karl Gustav several years earlier, as Sweden was Denmark's greatest enemy at the time.